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Initiateur et propriétaire du domaine, Robert Schintgen, entrepreneur luxembourgeois passionné de golf, a voulu créer un lieu qui allie les plaisirs du swing à l’art de vivre. Son objectif était de développer non seulement le golf, mais aussi le tourisme et l’économie locale, tout en respectant l’environnement et la biodiversité.

Des parcours complémentaires

Les deux parcours du Bois d’Arlon sont des pièces maîtresses. Le Parkland serpente dans les jardins du château, balisé par des arbres centenaires, nécessitant technique et stratégie. Le Heath Course, avec ses genêts et bruyères, rappelle le style de Tom Simpson et pose un défi avec son vent variable et ses obstacles stratégiques. Ces parcours, bien que différents, sont complémentaires et offrent un véritable test pour tous les niveaux de joueurs.

Un avenir prometteur

Le feedback des professionnels est unanime : le Bois d’Arlon a un avenir prometteur et pourrait accueillir de grandes compétitions professionnelles, comme le championnat de la PGA belge en juillet. Avec une situation géographique idéale et un hôtel sur place, il coche toutes les cases pour devenir un lieu incontournable du golf européen.

Une académie de haut niveau

Le Bois d’Arlon offre également des infrastructures d’entraînement de premier ordre, avec l’un des plus vastes practices de Belgique et une académie unique en Europe dotée des dernières technologies, dont le Trackman. Baptisée “European Performance Stadium”, elle permet aux joueurs de tous niveaux de progresser grâce aux outils modernes de la biomécanique, sous la direction de Jean-Jacques Rivet et son centre Biomecaswing.